Longest Night (Windows, Mac, Linux)
Alec Holowka, Scott Benson et Bethany Hockenberry
Vous vouez ces six étoiles, là,en forme de racine? Bon ben c’est Andromaque. Le tas compact juste à droite, c’est le Petit Babiroussa, animal en lequel Zeus s’était transformé pour féconder une Lada. Si vous tracez une perpendiculaire à la droite formée par ses deux étoiles les plus lumineuses, vous tombez sur le Serpentaire. Et là, au bout de mon doigt, la constellation en forme de boomerang là, ben c’est le Boomerang.
Pourquoi s’ennuyer à apprendre par coeur le nom des 88 constellations quand on peut, allongés sur l’herbe, entre amis, autour d’un feu de camp, passer la nuit à réinventer le ciel ? Supplément, comme Lost Constellation, au très attendu Night in the Woods, Longest Night a la tendresse et la chaleur de ces nuits-là.
Dans le grand drap du ciel, nous relions les étoiles de traits lumineux. Comme les constellations que nous connaissons, celles de Longest Night n’ont dans leur forme rien de très évocateur, mais c’est à nos oreilles qu’elles vont se dessiner. Chaque étoile a son propre son, sa propre note. Caressant les astres du curseur, nous produisons des mélodies de carillon, et les plus belles, les plus harmonieuses, eh bien : ce sont nos constellations. Chacune a son nom et son mythe associé, ce qui rend le ciel de Longest Night au moins aussi captivant que le nôtre. Et puis il y a les amis, ces personnages que nous ne connaissons pas encore, et que nous sommes impatients de rencontrer dans Night in the Woods.
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