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Réminiscences

Animal Puncher

Animal Puncher (Browser)
Austin Breed

 

Amis des bêtes, passez votre chemin, car Animal Puncher consiste, comme son nom l'indique à tuer des animaux à coups de poings.

Amoureux du jeu vidéo, restez encore quelques minutes, car Animal Puncher est une nouvelle brillante démonstration de ce qu'on peut faire avec quatre boutons et un gros tas de pixels.

 

Après y avoir joué, je ne sais pas vraiment quoi penser de ce jeu. J'en déduis, peut-être naïvement, qu'il s'agit d'un chef-d’œuvre.

 

Plumet

Plumet (Browser)
Person333
By Bealdo

 

Une nouvelle catégorie s'ouvre sur l'Oujevipo. Il s'agit de la catégorie Invités. Ici, ce seront d'autres gens que moi qui vous parleront d'un jeu à leur manière, histoire de varier les plaisirs. Je vais essayer de faire une jolie place à cette catégorie, peut-être lui donner une charte graphique différente, on verra bien. Si certains d'entre vous sont intéressés, vous pouvez m'envoyez vos idées à pcorbinais[at]gmail.com .
En attendant, je vous laisse en compagnie de Bealdo.

 

Je ne sais pas comment écrire sur un jeu vidéo (et j'adore commencer un article sur un aveu d'échec). Demandez moi d'écrire un truc sur Hendrix et les grands prédateurs du Crétacé et j'enchainerais les pages comme mon petit cousin les pépitos à l'heure du goûter (sérieusement, ce gamin me fait flipper parfois). Mais un jeu vidéo ? Ces trucs ne m'ont jamais autant intéressé que la musique et c'est peut être due à mon éducation. Déjà je n'ai eu la PS1 que lorsque la PS2 est sortie c'est à dire à une période où tout le monde (moi y compris) s'en branlait un peu de la PS1. Ensuite, dans la cour de récréation j'ai découvert que posséder une PS1 était une raison suffisante pour se faire insulter de manière virulente par les petits cons qui avaient une Nintendo 64. J'ai aussi découvert que les possesseurs de consoles étaient assez peu nombreux dans mon école et que j'avais soudain un nombre considérable de nouveaux amis (dont un qui habitait à deux pas de chez moi et qui avait de la paille, avec peu être un peu de merde de poule sur ladite paille, partout dans son salon). Mes jeux préférés étaient alors des trucs dont personne ne se souvient comme Sled Storm (jeu de course en moto neige ou buter des lapins rajoutait des points) ou Dead Ball Zone (sorte de handball futuriste où l'on pouvait une tronçonneuse ou un fusil à pompe pour récupérer la balle).

 

Concrete Jungle

concrete jungleConcrete Jungle (Browser) Robert Shenton   2 siècles 3 passages de Halley 4 jubilés 21 décades 52 années bissextiles 210 Noëls 2639 lunaisons 76545 jours 1837080 heures C'est le temps qu'il a fallu à cette extraordinaire clématite pour grimper le long des 35 étages de cet immeuble de béton. De son point de vue, ça a semblé beaucoup plus court : une dizaine de minutes tout au plus...mais quelles minutes !

Crashed Lander

Crashed Lander (Browser [Unity], Windows, Mac)
Don Whitaker

 

 

Piloter un vaisseau futuriste ne signifie pas forcément participer à des batailles spatiales à grand coup de lasers et de canons à antimatière. Dans le futur, même en temps de guerre, il existera toujours des professions plus humbles que soldat galactique : livreur par exemple. Mais lorsque l'on a pas passé son permis véhicule volant, ce métier n'en est pas moins dangereux.

 

Crashed Lander adapte les mécanismes d'un QWOP à la simulation d'engin volant. Cela signifie qu'au lieu de presser avant pour aller en avant, droite pour aller à droite etc, chaque touche est liée à un ou plusieurs des réacteurs de l'engin. Résultat : on se retrouve à faire des tonneaux inopinés, on se coince dans les arbres, on se retourne au sol, incapable de redécoller, et quand un des précieux réacteurs vient à exploser, c'est encore pire.

 

Copaings

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Qui suis-je ?

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Gateway – Gateway 2

Gateway et Gateway 2 (Browser)
Anders Gustafsson

Jayisgames a ressorti de la cave l’excellent Gateway, l’occasion pour moi de me le remettre en mémoire, et peut-être, pour les plus chanceux d’entre vous, de le découvrir.

 

Gateway est un puzzle/point and click à priori traditionnel : il s’agit de ramasser des objets, les utiliser au moment adéquat et résoudre des énigmes, le tout à la souris.

Mais on ne se méfie jamais assez des puzzles/point and click.

 

 

Le point and click, quand il se pare « d’aventure » peut-être un un excellent medium narratif (nous avons tous tremblé quand George Stobbart chancelait au bord de la falaise, tous ri aux éclats en découvrant avec Sam et Max la plus grande pelote de laine DU MONDE! [n’y a-t-il pas des normes pour les pelotes de laine? – Pas quand c’est la plus grande pelote de laine DU MONDE])

 

Mais lorsqu’il revêt les austères apparats du puzzle, celui ci devient généralement froid, ne s’adressant plus qu’à la cervelle, et ne réveillant, parmi le panel d’émotions disponibles, que la frustration, l’exaspération parfois, la satisfaction si tout se passe bien, ou la honte pour un recours trop rapide à la soluce ou aux indices.

Si Gateway est en deux parties (à jouer dans l’ordre évidemment) il y a une raison : la première, présentée lors de la première Casual Gameplay Design Competition, joue un rôle d’appât, de leurre, pour que la seconde puisse se glisser dans votre dos et vous asséner un puissant coup de batte.

 

Plus que de présenter une narration de qualité, Gateway abandonne la linéarité pour morceler sa narration, la disséminant aux quatre coins du puzzle, sur les quatre VHS, derrière les quatre portes.

Ce qui motive le joueur n’est plus l’immersion dans la narration, mais sa simple volonté de recoller les morceaux, de comprendre enfin, chose qui ne sera possible qu’à la conclusion.

 

Gateway apporte donc une nouvelle pierre à l’édifice encore ras du sol de la narration interactive, on ne raconte plus une histoire, on ne vit plus une histoire, on en ré-imbrique les pièces éparses, exactement comme celles d’un…puzzle.

Et si pour la toute première fois, le nom de puzzle point and click s’enfilait comme un gant?

 

En plus…il y a des robots!

  • 24 novembre 2010
  • In 20 minutes

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3 Comments

  1. Nimls

    4 décembre 2010

    OMG!

    Mais ce jeu est juste magnifique ^^
    Autant, je n’avais pas trop aime le premier qui se finissait en 5/10 minutes, autant j’ai adore le second qui est simplement splendide (malgres des eninigmes ou on comprend ce que l’on doit faire mais que l’on ne sait pas si on doit le faire de cette maniere ci ou d’une autre.)

    Je crois que son gros point fort est l’histoire qui comme tu l’as dis, est si peu lineaire que l’on essaie a tout pris de comprendre, alors que je crois que si les cassettes etait dans l’ordre, on n’aurait pas suivie l’histoire avec cette interet, et etait aussi touche a la fin ^^

    Merci encore beaucoup pour ce jeu (dont je regrette qu’il n’y ait pas eu de suite)!

    Nimls

    Reply
  2. admin

    6 décembre 2010

    héhé, comme je disais : un puissant coup de batte.

    Je suis heureux aussi d’être retombé dessus, ça valait vraiment le coup.

    Reply
  3. Pnume

    2 mars 2012

    Tu parles d’un coup de batte D:

    Et ces sons derrière, limites drone, qui amplifient le tout… waow.

    Légèrement déçu par la toute fin, néanmoins. Mais quel beau jeu !

    Reply

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