Drip (Browser)
PfQ
Plic
Plic
Plic
Fait la goutte dans l’évier.
Plic
Plic
Plic
Fait aussi la poésie.
Plic
Plic
Plic
Au diable l’interactivité.
Plic
Plic
Plic
C’est court et c’est joli.
The Game of life (Browser)
John Horton Conway
The Game of life est moins un jeu qu’un logiciel de simulation, mais vous constaterez vite qu’on peut y prendre beaucoup de plaisir.
Il a été créé en 1970 par le mathématicien John Horton Conway pour simuler la reproduction de cellules. Comme vous pouvez l’imaginer : chaque case de la grille chaque case jaune de la grille représente une cellule, chaque case grise l’absence de cellule.
La simulation se construit autour de 4 principes simples :
-Toute cellule avec une ou zéro cellule avoisinante meurt de sous-population
-Toute cellule avec quatre cellules avoisinantes ou plus meurt de surpopulation
-Toute cellule avec deux ou trois cellules avoisinantes vit.
-Toute case vise avec trois cellules avoisinantes fait naître une cellule.
De ces lois mathématiques découlent une infinité de sociétés cellulaires possibles : croissantes, nomades, stables, condamnées ou non…et le pire, c’est que c’est un régal à observer., particulièrement avec la gueule de bois.
NetHack (Windows, Mac, Linux)
Usenet
Aujourd'hui un peu d'Histoire.
De nombreuses variantes de rogue-likes ont d'ores et déjà été présentées sur l'Oujevipo (Au hasard : Desktop Dungeon, Rogue Hockey, Second Wind, Hyperbolic Rogue, Fog and Thunder...), mais comme l'a fait remarqué Nimls, ces jeux sont d'autant plus appréciables après avoir joué à celui dont ils sont tous issus : Rogue (ben oui).
Le problème, c'est que développé en 1980 pour Unix, Rogue n'a pour les joueur d'aujourd'hui rien de très attrayant, sans parler de l'intense difficulté de la prise en main. Sur suggestion de Nimls également, c'est plutôt NetHack que je vais présenter. (Vous pourrez tout de même trouver une version Windows de Rogue ici)
Dragon Pussy (Browser)
Redgrim
Les amateurs de FPS ont beau être familier avec la notion de “Rocket-Jump”, il seront sans doute surpris malgré tout d'apprendre que Dragon Pussy consiste littéralement à faire sauter une roquette.
Oui, Dragon Pussy (dont je ne m'explique pas le titre), nous fait incarner une munition, un missile à tête vaguement chercheuse (ça dépend un peu de nous en fait), et le pire, c'est qu'il ne s'agit même pas d'un jeu de tir, mais d'un platformer.
Drip (Browser)
PfQ
Plic
Plic
Plic
Fait la goutte dans l’évier.
Plic
Plic
Plic
Fait aussi la poésie.
Plic
Plic
Plic
Au diable l’interactivité.
Plic
Plic
Plic
C’est court et c’est joli.
jotarok
J’aime.