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Réminiscences

Beetlefield : The Forecast

Beetlefield : The forecast (Browser)
Benjamin

De tous les jeux de cette Ludum Dare, Beetlefield est sans doute un de ceux qui présente le moins d'interaction...un clic toutes les deux minutes en moyenne. Il est pourtant celui devant lequel j'ai passé le plus de temps. La raison ? Beetlefield s'attaque à une faiblesse bien connue chez l'homme : le démon du jeu.

Deux équipes d'insectes se font face, à vous de parier sur celle qui sortira victorieuse. Vous avez gagné ? Parfait, ajoutons un insecte et un nouveau pouvoir à l'équipe des perdants. Et maintenant ? Vous pariez sur qui ?

Firepower

Firepower (Brower [Unity])
Chris Willoughby

 

 

Avouons-le, l'intérêt du God-game, avant même son aspect stratégique, c'est le pouvoir de vie ou de mort sur nos créations qui nous est accordé. Il n'y a rien de plus satisfaisant par exemple que de faire flamber forêts et fidèles en poussant de grands rires démoniaques. Le problème, c'est qu'à trop faire feu de tout bois, et bien, il ne reste plus de bois, et on se retrouve petit dieu de rien du tout.

Réalisé pour la ludum dare 25, Firepower résume bien ce paradoxe : on y sera invité à brûler un maximum de forêt pour gagner des points, tout en préservant celle-ci pour ne pas se retrouver à cours de pouvoir divin. Il faut en somme trouver un juste équilibre entre création et destruction.

Si la version 48h est déjà impressionnante de finition, la versio post-compo est plus jouissive encore, car plus riche et mieux équilibrée. La génération aléatoire assure la rejouabilité tandis qu'audio et graphismes se chargent de nous immerger totalement. Une merveille.

One Year

One Year (Browser)
Nathan Mc Coy

 

Le 10 Janvier, anniversaire de l'Oujevipo, j'avais évoqué une future surprise. La voici : One Year, un jeu de Nathan Mc Coy.

Que les choses soient claires : Nathan Mc Coy n'a pas créé One Year pour l'Oujevipo, mais c'est moi qui, grâce à son système de donation, ai pu en choisir le titre. L'auteur a simplement du composer avec. Un cadeau de ma part pour la première année de l'Oujevipo.

 

C'était un cadeau facile, j'étais sûr de faire plaisir : je n'ai jamais joué à un jeu de Mc Coy qui soit dépourvu d'intérêt. C'est donc sans surprise que j'ai découvert une fois encore l'inventivité de cet homme.

 

One Year est un petit jeu de réflexe et de réflexion, l'un et l'autre se phagocytant. Le joueur contrôle la rotation d'un cercle (comme dans Aliada Luna) divisé en segment que des perles viennent colorer trois par trois.

 

Lorsque le cercle est entièrement coloré, on compte les points et on recommence. Plus les groupes de couleurs sont grands plus ils rapporteront de points. Le but du jeu étant de cumuler le plus de points avant la fin du temps imparti.

 

/ Escape

/ Escape (Browser)
Ian Brock, Josh Schonstal, Guerin McMurry (Incredible Ape)



Au début, il y avait la marche. On se déplaçait de gauche à droite, de droite à gauche, et on trouvait ça très bien. Puis un certain Mario est arrivé, fier de sa nouvelle trouvaille : le saut. Dès lors, tous les héros de platformer se mirent à l’imiter, et tous sautèrent.
A ce moment, ils pensaient réellement avoir atteint leurs limites. Que désirer de plus quand on peut déjà sauter ?


C’est là que deux nouveaux champions firent leur apparition : un hérisson et un opossum. Le hérisson, nommé Sonic, apporta le pas de course. L’oppossum, nommé Sparkster, apprit à ses congénères comment, à l’aide de roquettes fixées dans son dos, il parvenait à effectuer ce qui ressemblait à un double-saut.

 

Marche, course, double-saut. L’attirail des héros de platformer semblait cette fois bien complet. Ils se multiplièrent alors sur ce modèle sans savoir que quelques temps plus tard, une nouvelle découverte viendrait tout chambouler.

Ses instigateurs venaient de loin, ils portaient des cagoules et combattaient à l’aide de sabres ou de petites étoiles argentées. C’étaient les ninjas.

Leurs techniques étaient peu appréciées par les héros de platformer, on jasait :

-       Pourquoi s’embarrasser d’armes quand on peut tuer nos ennemis en leur sautant sur la tête ?

-       Ou en ramassant des fleurs de feu ?

-       Ou en dénichant des globes d’invicibilité dans des télés explosées ?

Mais tout ça n’était que pure jalouse, car ces guerriers d’Orient disposaient d’une technique inédite : ils pouvaient rebondir non plus horizontalement mais verticalement. Autrement dit : ils maitrisaient l’art du Wall-jump.

 

Copaings

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Hush

Hush (Browser)
Increpare

 

…Chut…

  • 6 juin 2010
  • In 5 minutes

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1 Comment

  1. pyrofoux

    13 novembre 2012

    Oh.

    Reply

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