A thing about nothingness

A thing about Nothingness (Windows)
Pierrec et Sy

 

 

Pour sa 26ème édition, la Ludum Dare a explosé tous les records, avec 2343 jeux au compteur. (on plafonnait jusqu’à présent autour de 1400). Il faut croire que le thème Minimalisme a été inspirant, et en effet : comment un jeu réalisé en moins de 48/72h peut-il ne PAS être minimaliste, en un sens ?

 

En ce qui nous concerne, Minimalisme nous a évoqué Diogène et le Cynisme. Mais emportés par le courant d’idées saugrenues qui nous passaient par la tête, nous avons préféré traiter d’Eugène, et du Cynicynisme (prononcer “Sinisinismismesme”).

 

 

 

A thing about Nothingness est assez surprenant, dans le sens où nous étions nous-même constamment surpris de la tournure que prenaient les événements. Sans réelle ligne directrice (ou alors particulièrement sinueuse), nous avons passé notre temps à improviser, tantôt guidés pas les dialogues, tantôt par les graphismes, tantôt par un simple son. Ça aurait pu tourner à la catastrophe, mais nous sommes au final très heureux du résultat, mi-conte philosophie, mi-théâtre de l’absurde.

 

A thing about Nothingness comporte 10 fins, dont une “bonne”, mais celle là, pour la trouver, il faudra être un sacré veinard!

 

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9 Comments

  1. Charles de Goal

    Patate.

  2. o/

  3. Charles de Goal

    (et sinon vraiment très bien, le jeu. J’ai beaucoup aimé cette manière de tourner le joueur en bourrique. Hips !)

  4. Sakutei

    Do A Barrel Rooooooll !
    Excellent jeu ^^. Je ne suis pas encore arrivé à la « bonne fin ». Mais en tant que cynicynique faut-il vraiment chercher une fin meilleure que celle de se faire mortifier par son maître ? Ah ah !

    Nan sinon les graphismes sont vraiment chouettes, l’idée des panneaux qui changent de place est vraiment chouette et la quête de Eugène est vraiment chouette.

    Et puis il y a l’harmonica. L’harmonica. l’harmonica !

    ps : tiens au fait, la musique de la prophétesse, c’est pas celle de « City of Day and Night » ? Le jeu que je n’ai jamais pu finir parce qu’il me manque toujours UNE lune >< !

  5. flap

    [quote name= »Charles de Goal »](et sinon vraiment très bien, le jeu. J’ai beaucoup aimé cette manière de tourner le joueur en bourrique. Hips !)[/quote]
    En barrique tu veux dire…

  6. Shertigan

    Après m’être bien creusé la tête et même avoir pris des notes, je compte 11 fins différentes, et la fameuse « bonne fin » dont tu parles n’est pas dans le tas.

    Enfin dans tous les cas, je me fais renvoyer bouler par le maitre. Peut être que j’ai bien trouvé la bonne fin sans même le comprendre x)

    • Pierrec

      11 fins? Mais comment c’est possible?
      Si mes souvenirs sont bons il y a bien un moyen de ne pas se faire remballer par le maître, et si j’ai vraiment bonne mémoire, il faut lui ramener une patate.
      Maintenant comment obtenir la patate? Je crois qui faut échanger de caillou en passant par l’enfant (lancer le caillou puis retrouver le mauvais) puis utiliser ce mauvais caillou dans la bouche de la statue.
      Après, je ne crois pas que la fin soit assez gratifiante pour mériter de recommencer après 11 essais ^^

  7. Shertigan

    J’ai trouvé le moyen de ramener au maître:
    -Un caillou
    -Une pomme
    -Un manteau
    -Une fleur
    -Un secret
    -De l’argent
    -Une peau de chien
    -Un caca
    -Rien du tout
    -De l’amitié
    -Et effectivement, une patate.

    Ça fait bien 11 fins. Mais je comprends maintenant pourquoi je n’arrivais pas à trouver la bonne. Je n’avais pas répondu le bon truc après lui avoir ramené la patate. J’ai refait un essai en répondant la bonne chose cette fois, et ca a marché.

    • Pierrec

      Olala…on avait vraiment été vicieux sur ce coup là. Si c’était à refaire je simplifierais un peu

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