FISHBONES (Browser [Unity])
Lucie Héloïse Paul Félix Tom et Titouan
Allez…encore un peu…maintenant!
Mince, c’est raté, on la refait. Il suffit de faire en sorte que…Aaarg ! Encore raté !
Oh ! Là ! C’est quoi ce gros truc ? C’est ça qu’il me faut ! Vite ! Trop tard…il est parti.
Bon ben on va faire avec celle de tout à l’heure hein, avec le photobombing de dauphin.
Prendre une capture d’écran correcte de FISHBONES, coup de cœur du jury du concours Nova Play, n’est pas chose aisée. Tout s’agite, tourbillonne, s’éclaire pour s’assombrir aussitôt, disparaît au moment où on voudrait le saisir ou s’impose quand on cherchait à l’éviter. Tsss…j’aurais dû faire un GIF.
Les pieds rivés sur une espèce de barge, nous voilà coincés avec pour seule activité l’observation du ciel…ou des profondeurs…ou d’une espèce de tout à l’égout mystique…on ne sait pas très bien. En fait, on ne sait pas grand-chose, et on ne fait pas grand-chose non plus à part tourner la tête et fermer les yeux. Mais l’environnement tout autour lui s’agite, se transforme, faisant défiler des poissons, des squelettes, des monstres des profondeurs…et cette étoile, cette bouche, ce trou noir qui semble vouloir nous absorber…
Jusqu’à la fin, FISHBONES nous mène en bateau, sans que l’on sache vraiment si nos actions ont la moindre influence sur le déroulement du jeu. Il semble que si, il paraît que non. Mais pourquoi vouloir toujours tout savoir, tout comprendre ? Parfois il est bon de se laisser porter, d’éteindre son esprit et de laisser la gouverne à ses sens.
Armel
pour ma part, j’ai l’impression qu’on a les pieds accrochés à un boulet, et qu’on coule à pic dans la flotte
c’est un peu morbide
en tout cas le jeu est oppressant et hypnotique
Pierre Chevalier
en effet j’ai aussi l’impression qu’on coule