Eternally us (Windows)
Ben Chandler et Steven Poulton.
Le jeu vidéo manque de personnages féminins.
Je ne veux pas parler de Lara Croft dont le genre féminin ne se justifie pas plus que celui de la tartiflette, non, je parle de vraies femmes. Des qui portent des vêtements chauds en hiver, des qui préfèrent nourrir des pigeons plutôt que de flinguer des tigres, des qui sont un peu paumées, des qu'on voudrait prendre dans nos bras même s'ils sont pas costauds parce que là c'est pas ça qui compte, des dont on peut tomber amoureux, l'espace d'une demi-heure.
Heureusement, il y a Eternally us.
Un jeu réalisé avec Adventure Game Studio, je précise au cas où cela peut donner envie à certains (ça a marché pour moi).
Ne lisez pas ce qui suit si vous craignez de vous gâcher le plaisir. Sachez simplement qu’Eternally us doit se jouer avec le son
Diamond Hollow (Browser)
Arkeus
[((plateformer + shooter) x (upgrades+achievements))x rétro² ] / 48h = FUN
45 guys 1 brain (Browser)
Armel Gibson
Non, ce titre n'est pas celui d'un jeu mettant en scène un pauvre survivant au milieu d'une horde de zombies, ni d'un meme vidéo présentant une partouze homosexuelle de nécrophiles fétichistes du cerveau, ni encore d'un documentaire sur une classe de première année de psycho à la fac (je plaisante, je n'ai rien contre les premières années de psycho, j'ai même une amie qui a été en première année de psycho), c'est le titre du vainqueur de la première Punkweek Competition qui s'est déroulé en février.
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