Super Meat Boy est connu pour les flaques sanguinolentes que son héros laisse derrière lui. The Unfinished Swan est connu pour sa façon de dévoiler la configuration des niveaux en les aspergeant de peinture. Au détour de la 2D et de la 3D, ces deux jeux se sont rencontrés, et après des ébats quelque peu salissants, ils ont donné naissance à Ink.
De son papa, Ink a gardé le gameplay de platformer 2D, l’apparence de son avatar et sa manière de marquer son territoire. De sa maman, il a gardé les murs invisibles révélés à la peinture et, miracle de la vie, il a ajouté de la couleur à tout ça. La fusion de ces deux gameplay semble si évidente qu’on en arrive à se demander pourquoi personne n’y a pensé avant, mais rien n’est évident avant d’avoir été exécuté correctement, et pas une once de mérite ne doit ainsi être retirée à Ink.
Les contrôles d’Ink n’atteignent peut-être pas la perfection de ceux de Super Meat Boy, les sauts ne se dosent pas aussi facilement et les plateformes semblent toujours un peu savonneuses, mais les deux pieds dans la peinture fraîche, on peut facilement imaginer qu’il n’est pas aussi simple de se mouvoir. Le côté délicieusement hardcore est toujours là en revanche, notamment avec l’apparition des tourelles vers le niveau 30. Pour l’instant, je vous attends au 32, on pourra peut-être faire le reste du chemin ensemble.
Rogue
Injouable. Ces contrôles pourris et ces marches qui glissent lassent vite. J’applaudis ton courage d’avoir tenté à jouer plus de 15 minutes à ce machin, que je m’en vais désinstaller aussi sec.
Pierrec
Oui, comme je l’ai dit, les contrôles ne sont pas tout à fait au point, mais j’ai trouvé le jeu jouable quand meme…jusqu’au niveau 32 ^^
Naarakah
Vraiment très sympa, j’ai réussir à le finir (après avoir un peu ragé sur le dernier niveau =p), et je trouve qu’on s’habitue assez bien aux contrôles un peu… approximatifs
Pierrec
je suis admiratif!