Icarus

Icarus (Browser)
Linear Games

 

« Ce jeu ne contient pas de fin. Arrêtez quand vous n’avez plus envie de jouer ».

Super ! Un autre jeu d’exploration en pixel-art !

Je n’ai rien contre les jeux d’exploration, mais pour que ça marche, il faut quand même qu’il y ait quelque chose d’intéressant à explorer. Le pixel-art d’Icarus n’est pas hideux, mais bon, c’est assez rudimentaire quand même, ce n’est pas comme si j’allais y faire des découvertes…Oh ! Mais qu’est-ce que… ? Oooh ! Ah oui ! Quand même ! Ha ben d’accord, si c’est comme ça, oui, je veux bien explorer.

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6 Comments

  1. C’est… Je…

    Juste WOW.

    Sans mauvais jeu de mot, ce jeu est très poétique, touchant, et il m’a fait planer.

  2. Cyprien C.

    Icare sans son soleil, je trouvais ça bizarre. J’ai eu beau le chercher dans le monde apparent du jeu, je ne l’ai pas trouvé. Car il est bien caché ce soleil. Je pense que c’est lui que l’on aperçoit si l’on suit le mythe d’Icare, c’est-à-dire en essayant de grimper le plus haut possible, en s’efforçant de sauter et de voler sans s’arrêter. C’est peut-être cette petite sphère grossissante qui entoure Icare. Un soleil, un lumière qui éclaire et qui nous fait voir le monde au-delà des apparences (grises et froides dans le jeu).

    Mais à part ça, c’est tout de même bizarre de faire du mythe d’Icare un jeu de plateforme clos plutôt qu’un shoot’em up (avec le soleil en boss final 🙂 ). Je me pose aussi des questions sur la cohérence du monde caché idyllique qui met dans le même panier une fête foraine et des jardins japonais… Mais le deuxième personnage et ses actions reste pour moi le plus grand mystère de ce petit jeu.

  3. Personnellement, j’ai vu dans ce jeu la face cachée et secrète de l’adolescence.

    « 
    – Si je pouvais, je me casserais !
    – Ok. Débrouille-toi et ne reviens plus.
    – Quoi ?! Je peux revenir sur …
    – Non.
    « 

    ****
    Je me permet, mais ne le prenez pas mal de faire de la « pub ». Je ne suis absolument pas connu, donc quand je sors un jeu, ça passe inaperçu. Si vous voulez découvrir mes atrocités, cliquez sur mon pseudo. Merci et pardon d’avance.

  4. Moi dans ce jeu j’ai plus vu Sisyphe qu’Icare personnellement. On collecte les trois petites sphères, on va voir le gros monsieur en haut, et pof, on repart à zéro.

  5. L’ambiance m’a forcément rappellé Knitt Stories… mais pour ce qui est de la métaphore (allons-y, moi aussi je vais donner ma pousse-philo), ça m’a plus prosaïquement évoqué le taff.

    On bosse, on s’ouvre des perspectives qui n’ont sans doute pas grand choses à voir, on remet le fruit de notre labeur à celui/celle/l’entité/le système/l’objet-maître qui nous l’a demandé et si on ne s’y recolle pas et bien tout se reduit, on ne peut plus fuir la grisaille quotidienne.

    Après tout, à la base, Icare cherchait à fuir…

  6. Comme tu ruines toute la poésie!

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