Untitled (The Flower Game) (Browser)
Everest Pipkin et Loren Schmidt
Que restera-t-il de nous après notre mort ? Quelques lettres, des photos, ce meuble qu’on a fabriqué de nos mains, quelques enfants peut-être, et quelques peta-octets de données sur les serveurs des GAFAM. Pour les petits vaisseaux de Untitled, c’est tout de suite plus poétique : d’eux ne restera qu’une fleur.
À première vue, Pixel Amoeba a tout d'un arena shooter. On y occupe le centre d'un écran vide dans lequel déferlent par vagues toutes sortes de créatures hostiles et on récolte des powerups. Pourtant, dans Pixel-Amoeba, on ne « shoote » pas.
Les mécanismes de jeux sont bien les-même : il s'agit bien de détruire tout ce qui bouge jusqu'à la prochaine vague, mais nos seules armes sont ici des blocs de couleur verte qui viennent se greffer au noyau que nous sommes. Tandis qu'on se déplace avec WASD, les flèches directionnelles nous permettent de pivoter, et de contrôler ainsi l'orientation des blocs.
Il n'existe pas deux flocons de neige identiques, parait-il, bien que je ne me sois jamais embarrassé à vérifier. Certains, adeptes de la langue pendante aux petits matins d'hiver iraient jusqu'à dire que les flocons n'ont jamais le même goût, c'est encore à prouver. Une seule chose est sûre, c'est que pour l'homme attentif et poète, les flocons ne sonnent jamais de la même façon, et qu'en les écoutant bien, ils formeraient même une mélodie.
Parce qu'il implique un gorille échappé de sa cage et que grâce à Brassens et King Kong, le gorille est à mes yeux un des animaux les plus cool qui soient (avec le protée et le geoduck pour de toutes autres raisons).
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