Can you Pet (Browser)
Ambtiousk
Allez, on se détend avec un petit tamagochi tout mini-mignon. Un piège? Mais noooon, c’est pas mon genre.
Nation of Reincars ( Windows)
Krimelo
Je tarde un peu à présenter ce jeu, mais c’est parce que je tenais à le finir par moi-même auparavant. Mon manque de temps et d’intelligence me conduisent donc à une bonne semaine de retard sur la date de sortie (la honte !)
On entend souvent parler de jeux vidéos indés, de jeux vidéos experimentaux, mais finalement assez peu de jeux vidéos d’auteur (pourtant, les trois termes signifients dans ce contexte grosso merdo la même chose).
Pourquoi ? Peut-être parce que contrairement à la littérature, à la BD ou le cinéma, on reconnait moins facilement dans le jeu vidéo la patte d’un auteur, soit parce que le média ne s’y prête pas, soit parce que nous ne sommes pas encore assez éduqué pour le décrypter (média jeune, blablabla)
Il y a pourtant des jeux dont on peut identifier l’auteur au premier coup d’œil, sans pour autant qu’ils ne s’inscrivent dans une saga (et je réalise maintenant à quel point le titre de l’article « La Saga Spyeart » est mal choisi). Généralement, cette reconnaissance est due aux graphismes.
Ainsi, on peut reconnaître de loin un jeu de Nathan Mc Coy par ses couleurs vives et ses formes géométriques, un jeu de Spyeart par sa prédominance d’applats rouges, noirs et gris, un jeu d’Increpare par son fond noir quasi automatique…
Avec son troisième jeu, le suédois Krimelo confirme son entrée dans cette catégorie.
Sa patte à lui : Le jaune, le desert, évoquant tour à tour celui d’Amérique ou celui d’Afrique.
The Loving (Browser [Unity])
Alexis Moroz, Maxence Voleau, Camille Giraudeau, Manuel Parent, Yllogique
Alors que quelques centaines de milliers de personnes manifestaient dimanche dans Paris, de l'amour plein les pancartes, quelques dizaines d'autres s'étaient enfermés à l'Isart pour la Global Game Jam et, par l'intermédiaire du thème “Battements de coeur”, avaient bien souvent aussi l'amour au centre de leurs préoccupations.
The Loving, notamment, est un jeu de combat qui consiste à donner et recevoir non pas des coups mais de l'amour. Si les deux protagonistes à l'écran Mike et Waldork, semblent éprouver l'un pour l'autre quelque chose qui dépasse la franche camaraderie, cette mise en scène de l'homosexualité n'est en réalité qu'annecdotique puisque le vrai sujet de The Loving, c'est la relation qu'entretiennent le joueur 1 et le joueur 2.
Can you Pet (Browser)
Ambtiousk
Allez, on se détend avec un petit tamagochi tout mini-mignon. Un piège? Mais noooon, c’est pas mon genre.
Pnume
Mouarf, la surprise est de taille 😀
pyrofoux
Haha ! J’adore les poussins !