Cursor*10

Cursor*10 (Browser)
Yoshio Ishii

 

Merci à Mister Léon qui m’a permis de me rappeler de ce jeu que j’avais auparavant découvert sur le coffre à jouet.

Jusqu’à présent (jusqu’à 2008, pour resituer), les jeux de coopération faisaient face à trois écueils majeurs :

 

Soit il s’agissait de jeux de coopération multijoueurs, et nous n’étions jamais à l’abri de petits plaisantins, pour ne pas utiliser un mot plus court mais aussi plus impoli, qui prenaient un plaisir pathologique à ruiner toute entreprise collective (bâtisseurs de taudis en J1, si vous me lisez, sachez que je vous déteste).

 

Soit il s’agissait de coopération avec des I.A, qui selon les cas, pouvaient s’avérer totalement inefficaces (Seigneur elfe de Wesnoth, je veux bien te protéger, mais je t’en prie, reste dans ton foutu château) ou au contraire beaucoup trop, ce qui certes est bien pratique, mais peut anéantir tout expérience de jeu (brave SWATs de L.A, je ne vous remercierais jamais assez d’avoir sur me protéger tout en m’évitant de verser de ma propre main une seule goutte de sang de pasteur terroriste)

 

 

Aujourd’hui (1er Janvier 2008, si vous avez bien suivi), Yoshio Ishii inaugure avec Cursor10 la coopération en solo. Vous disposez donc de dix curseurs, d’une durée de vie de vingt secondes chacun. Les curseurs sont joués l’un après l’autre en s’inscrivant dans un même segment de temps (20 secondes donc). Votre objectif est de mener le dixième curseur au 16ème pallier en empruntant les escaliers.

 

Il vous sera donc nécessaire avec les précédents de découvrir ces escaliers, d’actionner des boutons, de cliquer frénétiquement sur des blocs un peu trop résistants…le tout de manière coordonnée. Et s’il vous reste du temps en rab (ce dont je doute), vous pouvez toujours gagner des points en détruisant les petites pyramides.

 

Il existe à présent un second volet du jeu pour les plus téméraires, je n’en suis pas parvenu à bout pour le moment. Vous me raconterez..

← Previous post

Next post →

2 Comments

  1. 128 !
    C’est bien ?

  2. aucune idée. (je ne me rappelle plus vraiment…)

Répondre à heudé Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *