La La Land

La la land (windows, mac) [cliquer sur l’OS correspondant pour télécharger le pack)
The Anemic (?)

[Vous aurez peut-être besoin de convertir les jeux pour les faire tourner sur vista ou seven. Le mode d’emploi se trouve en fin d’article]

Assez! Je ne veux plus me complaire dans ce rôle de petit blogueur du dimanche, je veux être un journaliste un vrai, et je compte commencer dès aujourd’hui la méthode de journalisme en 12 étapes, à commencer par les deux premières :

-Prendre le train en marche (et de préférence dans la dernière voiture)

-Parler de ce que je ne connais pas.

Ainsi, je parlerais de La la land, une série remontant à 2003.

Malgré tous mes efforts pour être un bon journaliste, je dois me confesser : j’ai joué à La la land, il y a presque un an, certes, mais j’y ai joué. Cet article ne sera donc peut-être pas aussi inconsistant que je l’avais prévu. J’espère que vous me pardonnerez.

Ce qu’il y a de plus compréhensible, de plus interprétable dans Lalaland, c’est son titre (et là, vous devriez commencer à trembler). La la land, n’est pas le pays de Lala, et donc des Télétubies, bien qu’il s’y apparente fortement niveau vrillage de cerveau.

Je verrais plutôt dans La la land une expression d’enfant, un Lalalère narquois, goguenard, prononcé par un dyslexique avec un œuf dans la bouche.

Ou alors, La la land est l’air d’une chanson qui grandit en vous comme un cancer, et occupe une par une la moindre de vos terminaisons nerveuses. Une chanson d’Europe par exemple : lalala-land, lalalalaland, lalala-land, lalalalalaland.

Ou encore, La la land est un anagramme de l’an dalla, ce qui n’a absolument aucun sens, ce qui en fait finalement l’hypothèse la plus plausible.

Hein? Ah oui…le jeu…c’est vrai!

Eh bien il y a cinq La la land, chacun présentant à priori un univers, un objectif, et un gameplay différent. Je dis à priori, car je doute qu’un seul de ces trois mots puisse vraiment s’appliquer à La la land.

Je n’ai que quelques bribes de souvenirs de La la land : un ourson anxiogène qui collecte des étoiles, un chat qui fait des allers retours incessants pour dépouiller de riches bourgeois et…

En fait c’est tout.

Un ourson, un chat…ces La la land se pourraient-ils être mignons?

Non. Je crois que jamais un pixel n’aura été tant agressif.

Lalaland est fou, et vous entraine dans sa folie. Il s’attaque à vos yeux, vos oreilles, votre cervelle, il vous tue à petit feu. D’un point de vue humain, je ne peux que blâmer La la land, mais d’un point de vue Oujevipien, je me dois de le cautionner. Si Lalaland n’existait pas, il faudrait certes l’inventer, mais était-ce nécessaire d’en réaliser cinq?

Je veux dire, le premier se chargeait déjà d’effacer tout ce que nous avions appris, de nous faire revenir au stade où nous jouions avec notre caca…Quel sadique voudrait y ajouter une suite?

Tout comme Passage, La la land fait partie de ces jeux qui n’ont aucun intérêt, si ce n’est l’expérience des joueurs. La votre, pas la mienne.

Maintenant, je vais jouer à La la land

[Mode d’emploi : Si vous possedez windows vista ou seven, vous aurez besoin de convertir les lalaland. Enregistrez les la la land sur votre ordinateur, et téléchargez le Game Conversion Program.

Faites glissez les jeux un par un sur le l’icône de se programme ou passez par le navigateur du programme. Les fichiers convertis apparaitront dans le dossier d’origine de chaque la la land. Dans le doute face à ces cinq épisodes, commencez par le 3eme, peut-être le plus accessible (c’est dire)]