King’s Ascent (Browser)
Aqualuft
Tout n’est pas fait de blanc ou de noir, et toute action, aussi bien intentionnée soit-elle, n’est dénuée de sa part d’ombre. C’est ce que le bon roi de King’s Ascent apprendra lors de son ascension, ça et quelques autres choses.
Reprenant le gameplay du vertical platformer (Doodle Jump), King’s Ascent y ajoute un poursuivant, et la possibilité de le ralentir, parce qu’en toute logique : les plate-formes qui s’effondrent sous nos pas lui retombent sur la figure. Il s’agit là du principe global, mais King’s Ascent est un peu plus riche que ça, avec des pièges à mettre en place, les plates-formes fusées ou encore des flèches à orienter. Il ne s’agira donc plus seulement d’atteindre le sommet, mais aussi de piétiner le plus de plates-formes en chemin.
Si le gameplay de King’s Ascent demeure très proche du vertical platformer « traditionnel », on s’étonnera de ne pas le ressentir de la même manière, ainsi, par sa verticalité, King’s Ascent nous ferait presque davantage penser à un shoot’em up dont le monstre serait le héros, et nous la totalité des opposants. Ressenti intéressant, puisque c’est en ce sens aussi que la narration nous conduit.
Sans être d’une originalité extraordinaire, King’s Ascent parvient à trouver son propre style, et dans ses graphismes variés, et dans sa narration, et dans le challenge et l’addiction qu’il créée. Il fait réfléchir aussi, prenant à contre-pied de nombreux stéréotypes et simplifications souvent croisés dans le jeu vidéo.
Via IndieGames
Ziert
C’est un jeu vraiment sympathique, assez difficile pour deander parfois plusieurs essais vers la fin, mais l’expérience de jeu est vraiment originale.
J’ai sentie une once de Braid dans l’histoire et le chara-design du roi, au passage. Bon, le thème s’y prête quand même pas mal.
Le seul problème, c’est qu’au moment ou on aimerais encore en voir plus, le jeu s’arrête. Mais bon, ça, on finit par y être habitué.
admin
C’est vrai qu’un ou deux niveaux de plus seraient passés crême