Skip to the content
  • 5 minutes
  • 10 minutes
  • 20 minutes
  • 30 minutes et +
  • Oujedico
  • Mes jeux
  • Qui suis-je?
  • Crédits
L'OUJEVIPO
  • 5 minutes
  • 10 minutes
  • 20 minutes
  • 30 minutes et +
  • Oujedico
  • Mes jeux
  • Qui suis-je?
  • Crédits

Réminiscences

Hero Test

Hero Test (Browser, Windows, Mac)
Steve Gargolinski

 

Avez-vous déjà eu l'impression qu'un jeu se fout complètement de votre gueule ? Oui ?

Alors essayez donc Hero Test, pour une fois, il ne s'agira pas pas que d'une impression.

 

Hero Test est un jeu réalisé en 48h pour la Mini Ludum Dare 25, dont le thème était « Le pire jeu que vous n'ayez jamais fait. ». Lors de cette compétition, de nombreux auteurs ont présenté des jeux aux gameplays navrants, aux graphismes hideux, aux sons à vriller le cerveau...Il semble que pour eux, les mots «  le pire jeu » aient été pris dans le sens de : le plus mauvais jeu, le moins réussi.

Steve Gargolinski a volontairement compris de travers, et « le pire jeu » devient pour lui : le plus mauvais, le moins gentil.

Un jeu sur les mots qui nous apporte, à nous joueurs, beaucoup de satisfaction.

 

Snakes On A Cartesian Plane

Snakes On A Cartesian Plan (Browser)
Netgrind

 

Alors que les jeux sur mobiles ressemblent désormais à ça, il convient de rappeler qu'au début, c'était plutôt ça. On ne va pas se plaindre de cette évolution, mais tout de même, on sera parfois emprunt de nostalgie en repensant à cette époque où quelques pixels monochromes suffisait à nous ravir et allaient jusqu'à constituer un argument de vente massif.

Dans des moments comme ça, on est bien content que Snakes On A Cartesian Plan existe.

 

Snakes On A Cartesian Plan est au jeu Snake ce que Pongs est à Pong ou Rules à Space Invaders, soit une série d'exercices de style visant à explorer la potentialité d'un gameplay simplissime. On y trouvera bien sûr quelques variantes évidente : contrôles inversés, cibles mouvantes...mais on sera la plupart du temps étonné par l’ingéniosité des gameplays. Certains d'entre eux, Python, Ourobouros, Grass snake...pourraient sans honte êtres présentés comme jeux en tant que tels.

 

Plumet

Plumet (Browser)
Person333
By Bealdo

 

Une nouvelle catégorie s'ouvre sur l'Oujevipo. Il s'agit de la catégorie Invités. Ici, ce seront d'autres gens que moi qui vous parleront d'un jeu à leur manière, histoire de varier les plaisirs. Je vais essayer de faire une jolie place à cette catégorie, peut-être lui donner une charte graphique différente, on verra bien. Si certains d'entre vous sont intéressés, vous pouvez m'envoyez vos idées à pcorbinais[at]gmail.com .
En attendant, je vous laisse en compagnie de Bealdo.

 

Je ne sais pas comment écrire sur un jeu vidéo (et j'adore commencer un article sur un aveu d'échec). Demandez moi d'écrire un truc sur Hendrix et les grands prédateurs du Crétacé et j'enchainerais les pages comme mon petit cousin les pépitos à l'heure du goûter (sérieusement, ce gamin me fait flipper parfois). Mais un jeu vidéo ? Ces trucs ne m'ont jamais autant intéressé que la musique et c'est peut être due à mon éducation. Déjà je n'ai eu la PS1 que lorsque la PS2 est sortie c'est à dire à une période où tout le monde (moi y compris) s'en branlait un peu de la PS1. Ensuite, dans la cour de récréation j'ai découvert que posséder une PS1 était une raison suffisante pour se faire insulter de manière virulente par les petits cons qui avaient une Nintendo 64. J'ai aussi découvert que les possesseurs de consoles étaient assez peu nombreux dans mon école et que j'avais soudain un nombre considérable de nouveaux amis (dont un qui habitait à deux pas de chez moi et qui avait de la paille, avec peu être un peu de merde de poule sur ladite paille, partout dans son salon). Mes jeux préférés étaient alors des trucs dont personne ne se souvient comme Sled Storm (jeu de course en moto neige ou buter des lapins rajoutait des points) ou Dead Ball Zone (sorte de handball futuriste où l'on pouvait une tronçonneuse ou un fusil à pompe pour récupérer la balle).

 

48min RTS

48min RTS (Browser)
Danik

 

Faire un jeu en 48h, c'est dépassé : la nano-LD introduit le jeu en 48 minutes. Pour Danik, le thème était RTS, voici donc 48min RTS.

(Pico-review réalisée en 48 secondes.)

Copaings

shake GamesMerlanfritIndiusGSSgamesphere

Qui suis-je ?

avatar bigger

© 2025 L'OUJEVIPO.

Powered by WordPress.

Theme by Anders Norén.

Polonius

Polonius (Browser [Unity])
Eddie Cameron et Robert Yang

 

Le plus amusant, avec les contraintes, c’est de les détourner.

Je présentais hier Last Tuesday de Jake Elliott qui détournait le thème de la mini LD#27 « All Talk » en ne mettant en scène qu’un seul personnage, et créant ainsi un environnement peu propice au dialogue, voici qu’Eddie Cameron et Robert Yang détournent ce même thème d’une toute autre manière.

 

Polonius met bien en scène un dialogue, comme convenu, mais curieusement, ce dialogue exclut complètement le joueur, il implique au contraire deux hommes qui lui sont totalement étrangers. Alors qu’on s’attendait pour ce thème à une profusion de Visual Novel, Polonius adopte un gameplay non seulement complètement différent, mais aussi très original.

 

 

Dans Polonius, vous incarnez trois espions chargés d’enregistrer la conversation évoquée plus haut. Deux d’entre eux sont des « snipers » équipés de matériel de prise de son longue distance. Le dernier est un agent de filature, équipé de matériel de proximité, mais qui doit prendre garde à ne pas se faire repérer par ses cibles.

L’objectif est donc de passer d’un agent à l’autre pour ne pas rater une miette de la conversation des deux hommes. En somme, Polonius pourrait bien être le premier « Multiple-First-Person-Recorder » ou le premier « Second-Person-Talker ».

Toute la difficulté réside dans le fait de ne pas perdre ses cibles, en effet : Tous les personnages sont identiques. La seule chose qui vous permettra d’identifier les deux hommes, c’est qu’ils sont les seuls à marcher deux par deux, en ce sens, Polonius pourra rappeler le côté chasse à l’homme de The Dueling Machine.

 

Je peux d’ores et déjà deviner la question qui vous taraude peut-être : Pourquoi espionner ces hommes ? Que peuvent-ils se dirent de si important ?

Eh bien, pas grand chose…à moins qu’il ne s’agisse d’un langage codé. Peut-être qu’en réussissant à saisir la totalité de la conversation vous sauvez le décrypter. Peut-être aussi que l’information tant désirée sera lâchée à à un moment donné de la conversation et qu’il ne vous faudra pas la rater. Je vous en laisse la surprise.

 

Détail amusant : les deux hommes portent les noms de Cameron et Yang, soit les auteurs de ce jeu. S’agit-il vraiment là d’une réelle conversation improvisée entre eux deux ? Est-ce vraiment le genre de propos qu’ils échangent lorsqu’ils sont dans l’intimité ? Cette coïncidence forcée amène à se poser quelques questions. Les auteurs sont ceux qui ont créé et organisé cette petite partie d’espionnage. Étant donné qu’ils en sont les cibles, ne ferait-ils pas exprès de vous divulguer ces informations ? Et si tout était truqué ? Et si vous étiez tombés droit dans un piège ? Cela n’a pas une grande incidence sur le jeu, mais c’est le genre de question que tout bon espion doit savoir se poser.

 

On pourrait imaginer Polonius surfer sur la vague de The Wire, qu’on qualifie désormais fréquemment de « meilleure série américaine » (moi je veux bien, si on garde à l’esprit qu’elle reste néanmoins inférieure à une bonne vingtaine de séries britanniques…), mais ce n’est pas le cas. Polonius est, selon ses auteurs, davantage inspiré par « The Conversation (Conversation Secrète) » de Coppola. Je n’ai pour ma part jamais vu ce film, mais la bande-annonce me laisse comprendre que Polonius s’en est tout de même pas mal éloigné. Ceci dit, cela m’a donné envie de trouver ce film. J’en saurais ainsi bientôt plus.

  • 29 juin 2011
  • In 10 minutes

← Previous post

Next post →

7 Comments

  1. Sbstn C

    29 juin 2011

    J’ai beau être un gros joueur de fps, quasiment tous les jeux sous Unity, me donnent instantanément la nausée. Je ne me l’explique pas. Du coup je peux jamais les faire 🙂

    Reply
  2. admin

    29 juin 2011

    C’est bien dommage, d’autant que Unity prend sérieusement de l’ampleur dans le jeu indé. C’est vraiment un handicap, comme être allergique à l’eau ou au gluten.

    Est-ce que ça ne pourrait pas être la sensibilité de la souris ? Le côté trop lisse ? Je donne moi aussi ma langue au chat.

    Reply
  3. Sakutei

    29 juin 2011

    C’est vrai qu’il y a un côté « à-coups » avec unity qui alterne une fluidité de mouvement un peu surprenante avec un système de collision un peu abrupt. Enfin c’est mon ressenti.

    Sinon j’ai bien aimé celui-là aussi ! Il fait effectivement pas mal penser à Dueling Machine mais en plus posé 😀

    « Nobody starve in america » mouahaha.

    Reply
  4. admin

    29 juin 2011

    Ah oui, merci Sakutei, c’est à peu près ce que je voulais dire, le côté à-coups.

    Reply
  5. Sbstn C

    1 juillet 2011

    Oui, c’est ce rapport fluidité/à-coups je pense et je crois que je supporte mal les petites fenêtres de jeu. Quand je repense au jeu flou où il fallait chercher ses lunettes j’ai des sueurs 😮

    Reply
  6. admin

    1 juillet 2011

    Tu as essayé Lost in the Static ? 😆

    Reply
  7. SbstnC

    2 juillet 2011

    Non, je me suis arrêté à ton avertissement :-*

    Reply

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *