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Réminiscences

Plumet

Plumet (Browser)
Person333
By Bealdo

 

Une nouvelle catégorie s'ouvre sur l'Oujevipo. Il s'agit de la catégorie Invités. Ici, ce seront d'autres gens que moi qui vous parleront d'un jeu à leur manière, histoire de varier les plaisirs. Je vais essayer de faire une jolie place à cette catégorie, peut-être lui donner une charte graphique différente, on verra bien. Si certains d'entre vous sont intéressés, vous pouvez m'envoyez vos idées à pcorbinais[at]gmail.com .
En attendant, je vous laisse en compagnie de Bealdo.

 

Je ne sais pas comment écrire sur un jeu vidéo (et j'adore commencer un article sur un aveu d'échec). Demandez moi d'écrire un truc sur Hendrix et les grands prédateurs du Crétacé et j'enchainerais les pages comme mon petit cousin les pépitos à l'heure du goûter (sérieusement, ce gamin me fait flipper parfois). Mais un jeu vidéo ? Ces trucs ne m'ont jamais autant intéressé que la musique et c'est peut être due à mon éducation. Déjà je n'ai eu la PS1 que lorsque la PS2 est sortie c'est à dire à une période où tout le monde (moi y compris) s'en branlait un peu de la PS1. Ensuite, dans la cour de récréation j'ai découvert que posséder une PS1 était une raison suffisante pour se faire insulter de manière virulente par les petits cons qui avaient une Nintendo 64. J'ai aussi découvert que les possesseurs de consoles étaient assez peu nombreux dans mon école et que j'avais soudain un nombre considérable de nouveaux amis (dont un qui habitait à deux pas de chez moi et qui avait de la paille, avec peu être un peu de merde de poule sur ladite paille, partout dans son salon). Mes jeux préférés étaient alors des trucs dont personne ne se souvient comme Sled Storm (jeu de course en moto neige ou buter des lapins rajoutait des points) ou Dead Ball Zone (sorte de handball futuriste où l'on pouvait une tronçonneuse ou un fusil à pompe pour récupérer la balle).

 

Making Video Games ep.3

Making Vidéo Games ep.3 : Comeback Tour (Browser, Windows, Mac)
Richard Perrin

 

Will Eisner, Robert Crumb, Art Spiegelman, puis plus proche de nous Lewis Trondheim, Mattt Konture, Fabrice Neaud, Frederik Peeters...autant d'auteurs qui ont contribué au renouveau de la bande dessinée en passant à la fois par l'exploration formelle et l'autobiographie.

Il est intéressant d'observer que le mouvement indé dans le jeu-vidéo, pourtant en tant de points comparables à celui de la bande dessinée, a totalement délaissé cet aspect autobiographique pour se concentrer entièrement à l'exploration formelle.

 

On trouve certes quelques exemple d'introspection dans le jeu-vidéo (Aubergine Sky, Lackadaisium) mais celle-ci est la plupart du temps camouflée, et il semble que le développeur dispose d'un sens plus aigu de la pudeur que le dessinateur. C'est bien dommage, et je serais bien friand de savoir ce qui se passe dans la tête d'un développeur autrement qu'à travers des post-mortem, une mise en abyme de l'auteur dans son propre médium.

 

Dominions'n'dominoes

Dominion DominationDominions'n'dominoes (Browser) Benjamin Soule   Lors d'une précédente Ludum Dare (la 23ème), Benjamin Soule nous cuisinait une intelligente adaptation vidéoludique du jeu de plateau Agricola. Pour cette trentième édition, il récidive, jetant aussi dans la casserole un peu de Cuba, de Dominion, et probablement d'autres jeux de plateaux à l'allemande que je ne connais pas, le tout préparé à la sauce science-fiction.

Little Knight's Tiny World

Little Knight's Tiny World (Browser)
Alchymy

 

Cette Ludum Dare 23 au thème Tiny World va comporter beaucoup de jeux mettant en scènes des micro-planètes, et l'imagerie du Petit Prince va être cent fois revisitée, il faut s'y faire. Pourtant, au milieu de toutes ces sphères, on peut d'ores et déjà prévoir que Little Knight's Tiny World saura tirer son épingle du jeu.

 

Copaings

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Qui suis-je ?

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Loved

Loved (Browser)

Alexander Ocias


On connait l’impact terrible des jeux vidéos sur la psychologie de l’enfant humain, comme le souligne si bien le docteur Dr N’GHIEM sur Salve Regina (Con de document qu’on peut pas linker: Famille/Education des enfants/La télévision, les jeux vidéos et la santé mentale des enfants), les jeux vidéos sont capables de « créer le phénomène de l’addiction, c’est-à-dire de dépendance comme chez le drogué : l’enfant ne peut plus se passer de jouer au jeu vidéo, vole au besoin pour se procurer de l’argent. ». C’est indéniable, nous nous sommes tous retrouvé enfant dans pareille situation, à braquer les petites vieilles à la sortie de l’eglise pour s’acheter la nouvelle cartouche pokémon, aujourd’hui reconnus comme d’inspiration satanique (Famille/Education/Halloween et Pokemon).


Mais on méprise bien souvent l’effet que peuvent avoir les joueurs sur le sujet jeu vidéo. Il n’est pas rare en effet de voir ce média jeune, instable, en proie à de graves troubles psychologiques dus à l’abus de joueurs.


Les premiers signes de ces troubles sont

-Instinct de contradiction

-Cynisme déplacé

-Complexe de supériorité

-Possessivité maladive


Si votre jeu vidéo présente un ou plusieurs de ces symptomes, c’est qu’il est temps de le faire consulter. Sans quoi, la pathologie pourrait sévèrement dégénérer.


Oui car si le joueurs ne répond pas à ces attentes, la colère et la déception de votre jeu pourrait se manifester pas une pixelisation suraigüe, menant à une saturation de l’écran de jeu et donc à l’abandon du joueur, soit le pire qu’il puisse arriver à votre jeu.


Le joueur, parlons-en, tout est finalement de sa faute : s’il se bornait à suivre les règles, appliquer à la lettres les consignes du jeu vidéo, les troubles de ce dernier finiraient peut-être par s’aggraver, mais il faut toujours que le joueur désobéisse, enfonçant plus profondément le jeu qui lui voue un amour maladif dans sa pathologie.


De maître, le jeu vidéo devient l’esclave du joueur, et on a déjà pu observer des phénomènes comparables au syndrome de Stockholm : Le jeu s’accroche à son tyran, et finit par lui implorer de rester, de jouer encore avec lui, comme avec une marionnette.


Le cas le plus frappant est celui de Loved, un jeu d’Alexander Ocias qui sombra totalement dans la folie. Je vous laisse juger par vous même.

  • 25 juin 2010
  • In 10 minutes

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3 Comments

  1. Pnume

    30 janvier 2011

    Terrible !
    Suivre le jeu à la lettre donne tout de même une fin plus troublante que faire ce que bon nous semble.

    Reply
  2. admin

    30 janvier 2011

    eh bien Pnume, tu es en train de te faire tout l’Oujevipo en une journée! Pense à te ménager!

    Reply
  3. Pnume

    30 janvier 2011

    Pas de soucis, j’me rends surtout compte que nombre de jeux auxquels j’ai joué par le passé (et encore aujurd’hui) se retrouvent ici, du coup ça n’incite pas trop à arrêter :p

    Reply

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