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Tinyville Confidential (Browser) Rose Abernathy
Tinyville...seuls deux type d'entités s'appellent généralement quelque chose-ville : les jeux Zynga, et les bleds normands.
Tinyville Confidential n'est pas un jeu Zynga puisqu'il a été créé par Rose Abernathy lors de la dernière Ludum Dare, puis retravaillé pour en arriver à cette version.
Tinyville n'est pas non plus un bled normand, mais ses habitants pourraient bien l'être, normands : « pt'et ben qu'oui, pt'et ben qu'non », tel est leur credo, jamais sûrs d'eux, toujours à changer d'avis.
Just close your eyes/1328.1.23.16/Someday Somewhere (Browser [Unity]/Windows)
Nuprahtor
Il y a quelques jours, je parlais de 1328.1.23.16. Dans mon article, je m'étais concentré sur les conséquences issues de la barrière due langage sur le jeu, mais n'en avais pas du tout abordé le contenu, le sens du jeu. Il y avait une bonne raison à cela : Je n'y avais pas compris grand chose.
Aujourd'hui, j'ai joué à Someday Somewhere, et à Just close your eyes, du même auteur, et désormais, tout commence à prendre forme.
Ces trois jeux se ressemblent énormément : Même logiciel (Unity), même graphismes, même sens du mystère et du symbolique. Certes, ils sont tous du même auteur, et on pourrait y voir la patte de l'artiste, mais je n'y crois pas, c'est trop de points communs pour être honnête, je suis pour ma part persuadé que ces trois jeux appartiennent tous à un même projet.
Pour plus de clarté, je vais faire un bref résumé/spoiler de ces trois titres. Il est hautement recommandé d'y jouer avant d'aller plus loin
Snake^n (Windows, Mac, Linux)
Eezal
Avec son Snakes on a Cartesian Plane, Netgrind inventait 28 variantes pour le célèbre jeu de Snake auquel aucun utilisateur de téléphone portable au début des années 2000 n'a pu échapper. On aurait pu croire qu'il avait fait le tour, que cette série d'exercices de style suffirait à épuiser ce gameplay au demeurant très simple. Mais le titre seul du jeu suffisait à pointer ses limites : pourquoi se cantonner à un plan cartésien ?
Eezal a poussé le concept plus loin en ajoutant une troisième dimension, le genre d'idée géniale qui ne semble évidente qu'une fois sous nos yeux. Un snake en 3D, c'est en toute logique un snake dans un cube, auquel s'ajoute fatalement une direction, ici commandée par Maj et Ctrl. Dans l'absolu, ce Snake^3 peut donc se jouer à une main, comme son lointain ancêtre, mais c'est oublier que la 3D nécessite parfois de changer d'angle de vue, et c'est ce dont notre seconde main, scotchée à la souris, se chargera.
Les premiers essais sur Snake^3 pourront sembler catastrophique, mais c'est juste le temps que notre cerveau s'échauffe, car au final, patience et méthode permettront d'arriver assez aisément jusqu'au niveau 10. Par la suite par contre, la longueur du serpent ayant dépassé celle du cube, cela devient juste infernal, mais peu importe, Snake^3 a déjà prouvé quelque chose d'important : notre cerveau est bien plus efficace qu'on a tendance à le penser.
Pas encore convaincu ? Très bien, ajoutons une dimension et lançons nous sur Snake^4. Cette fois, il ne s'agit plus de naviguer dans un, mais dans deux cubes, se trouvant dans deux dimensions parallèles, et c'est la barre espace qui nous permet de passer de l'un à l'autre. Beaucoup plus compliqué ? Pas vraiment, une fois le Snake^3 maîtrisé, le Snake^4 ne semble pas si intimidant, quand il semblerait tout juste injouable pour qui n'a jamais pratiqué le snake en trois, ni en deux dimensions.
On peut alors légitimement se demander ce qui se passerait si on ajoutait une cinquième, puis une sixième dimension, et ça tombe plutôt bien, puisque l'auteur projette de réaliser ces jeux également. Difficile en revanche de concevoir la forme que ceux-là pourraient prendre...Wait and see.
Los Mosquito (Windows)
Doomlaser - Kevin Coulton
A l'occasion du Pirate Kart en direction de l'IGF (une compilation de mini-jeux indés bien décidés à faire valoir leur importance dans le plus grand festival de jeux indés) Doomlaser a ressorti une paire de jeux inédits de ses tiroirs et les propose désormais au téléchargement : Braindead et Los Mosquito. Pour le moment, je ne parlerai que de ce deuxième.
Doomlaser écrit que Los Mosquito est un jeu qui consiste à incarner un moustique et à s'approcher discrètement d'humains pour leur sucer le sang avant qu'il ne vous balayent de la main et sortent le DDT. Et c'est exactement ça, rien de plus, rien de moins : un joli petit jeu d'adresse et de timing au gameplay qui n'est ni particulièrement original, ni particulièrement fun, ni particulièrement addictif.
Pourtant, Los Mosquito a de bonnes leçons à donner au développement indé et au jeu vidéo en général. On dit parfois que pour écrire un bon roman, pour réaliser un bon film, il suffit d'un bon début, et d'une bonne fin. Et si cette sentence s'appliquait au jeu vidéo ? Et si un excellent écran d'intro et un tout aussi excellent écran de game over suffisait à rendre un jeu marquant ?
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