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Heroes are so Annoying (Browser)
Knighty
Lors de cette Ludum Dare 25, Deepnight a encore frappé très fort ! Cette fois, le jeu qui se positionnera certainement dans le top 10 de la compo est un Dungeon Keeper revisité, de la stratégie/gestion en moins, du fun en plus.
Ce n'est pourtant pas d'Atomic Creep Spawner que je veux parler mais de Heroes are so Annoying, qui a eu la malchance de naître dans l'ombre du premier.
Comme Atomic Creep Spawner, Heroes are so Annoying s'inspire de Dungeon Keeper, comme lui, il a été réalisé en 48h et comme lui, il adopte un pixel-art hérité des consoles 8/16 bits. C'est suffisant pour rendre la comparaison inévitable.
Clairement moins beau et moins « juicy » (selon le terme de Martin Jonasson et Petri Purho), Heroes are so Annoying est à mon goût plus intéressant encore que le jeu de Deepnight. Plutôt que de mettre en scène le héros d'un hack & slash, Knighty a choisi celui d'un Jap-RPG, et son jeu gagne instantanément en richesse. Niveaux qui augmentent, herbes médicinales trouvées dans des coffres, groupe qui s'agrandit, combats au tour par tour...tout le parcours du héros de Jap-RPG y semble résumé...sauf que cette fois, nous sommes de l'autre côté ! Le gameplay de Heroes are so Annoying n'est pas celui du Jap-RPG « à l'envers », c'est tout simplement un « autre » gameplay. Et, au passage, j'aimerais vraiment voir celui-ci plus développé !
Ode to Pixel Days (Browser)
Tahla Kaya
Dans le milieu du jeu vidéo indé, il y a une chose à ne pas dire, un gros tabou qui jette immédiatement l'opprobre sur celui qui le prononce : c'est que le pixel-art, c'est une solution de facilité.
Alors oui, le pixel-art est parfois un véritable travail artistique, et certains parviennent à créer des oeuvres somptueuses à l'aide de ces petits carrés de couleurs, mais pour le développeur indé lambda, sans aucune compétence en graphisme, le pixel art demeure un moyen bien pratique d'obtenir des résultats convenables sans trop de travail (j'en sais quelque chose). Plus la résolution est basse, plus il est facile de faire du “joli”, ou du moins du “pas trop moche”.
Le pixel-art d'Ode to Pixel Days n'est pas trop moche, son personnage principal, lui, l'est. Du moins c'est ainsi qui le ressent et donc que nous le voyons. Pour séduire la fille de ses rêves, il lui vient donc l'idée saugrenue de réduire progressivement sa résolution pour aboutir à ce résultat “pas trop moche”, pour gommer ses différences.
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