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Fortress IX (Windows)
R
Vu par William "Skywilly" Bertin, de Game Side Story
Le premier qui termine ce jeu est un dieu. À travers trois "caméras", sur un plan 2D et des couleurs façon "vieux jeux d'aventure sur Apple II et Oric Atmos", Fortress IX place le joueur dans la peau d'un vigile d'une prison. Des prisonniers tentent de s'évader et vous devez donc leur envoyer vos chiens aux trousses. Il faut donc empêcher le plus longtemps possible vos cibles de s'évader en grand nombre et ce, sur les trois plans de caméras. Dur.
Ce n'est pas du tout le meilleur jeu du Ludum Lare, mais il a le mérite d'être original.
Firepower (Brower [Unity])
Chris Willoughby
Avouons-le, l'intérêt du God-game, avant même son aspect stratégique, c'est le pouvoir de vie ou de mort sur nos créations qui nous est accordé. Il n'y a rien de plus satisfaisant par exemple que de faire flamber forêts et fidèles en poussant de grands rires démoniaques. Le problème, c'est qu'à trop faire feu de tout bois, et bien, il ne reste plus de bois, et on se retrouve petit dieu de rien du tout.
Réalisé pour la ludum dare 25, Firepower résume bien ce paradoxe : on y sera invité à brûler un maximum de forêt pour gagner des points, tout en préservant celle-ci pour ne pas se retrouver à cours de pouvoir divin. Il faut en somme trouver un juste équilibre entre création et destruction.
Si la version 48h est déjà impressionnante de finition, la versio post-compo est plus jouissive encore, car plus riche et mieux équilibrée. La génération aléatoire assure la rejouabilité tandis qu'audio et graphismes se chargent de nous immerger totalement. Une merveille.
The Eye Of the Babeholder (Browser)
Sachka et The Mutant Sparrow
Que diriez-vous d'un petit jeu de memory psychologique ?
Comment ça vous ne savez pas ce que c'est ? Mais si, allons, vous y avez tous joué au moins une fois dans votre vie, quand vous étiez encore dans le berceau, que les mots prononcés par vos parents n'étaient qu'un complexe charabia et que votre seul moyen de les comprendre était d'expérimenter et de retenir les expressions de leurs visages...
Vous avez tout oublié ? Bon, c'est pas grave, The Eye of the Babeholder va vous rafraîchir la mémoire....mais pas trop j'espère.
Réalisé pour la Molyjam, ce jeu est inspiré du tweet : « Imaginez que vous soyez un bébé dans un landau et pouviez seulement voir le visages de vos parents. Étudier ces visages attentivement est la clef du succès. »
Comme dans No Place Like Home, une attention toute particulière a été portée sur les graphismes, collages photographiques évoquant aussi bien ceux de Man Ray que ceux que nous faisions enfants, et sur les sons, collages eux aussi de berceuse, babillages et stressants comptes à rebours. Mais s'il séduit dans la forme, cela n'empêche pas The Eye of the Babeholder d'en avoir dans les tripes. Du petit jeu mignon, il va progressivement se transformer en expérience angoissante et créer le malaise. On pourrait bien sûr choisir d'en rire, mais alors ce rire sera jaune comme nos propres couches après trois biberons.
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