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Ruins (Windows, Mac)
Jake Elliott (Cardboard Computer)
Quelle agréable surprise hier que de voir, sorti de nulle part, un nouveau jeu de Jake Elliott. Ai-je besoin de le rappeler : en plus d’être un de mes développeurs favori, Jake Elliott est aussi l’auteur de A House in California, Hummingbird Mind et Balloon Diaspora.
Pour être honnête : ce dernier jeu aurait été mauvais, j’en aurais tout de même parlé ici. Bonne nouvelle : il est excellent, comme à l’accoutumée.
Ruins est sans aucun doute le jeu de Jake Elliott qui ressemble le moins à un jeu, c’est peut-être aussi celui qui sera le moins facile d’accès, qui pourra sembler le plus ennuyeux…il n’en est pas moins une œuvre de maître. Selon les dires de l’auteur : « Ruins est un jeu à propos d’un chien qui chasse des lapins à travers un paysage onirique et ténébreux ». Ce n’est pas faux. Ce n’est pas vrai non plus.
Avant de vous lancer, sachez que Ruins est très gourmand en ressources, n’hésitez donc pas à choisir le niveau graphique minimum (fastest) si votre ordinateur est lui aussi en carton. Sachez aussi qu’un niveau d’anglais correct est requis…Ruins est avant tout une narration. Sachez enfin que ça spoile plus bas.
Ensnow (Windows, cliquez le lien Dropbox)
Anonrab et Anded
Qu'un jeu à la première personne soit effrayant, d'accord : on s'immerge dans le corps du personnage, on adopte son champ de vision, son champ d'action, les dangers se présentent ainsi tels qu'ils se présenteraient à nous dans la vraie vie...mais un platformer 2D ? Stressant, oui, angoissant, pourquoi pas, mais effrayant ? Le platformer nous laisse non seulement voir ce qui se passe devant le personnage, mais aussi ce qui se passe derrière, dessus, dessous...comment dès lors pourrait-on frémir à l'idée qu'un événement inattendu nous frappe de plein fouet, nous laissant à peine une demi-seconde pour réagir ? Eh bien il faut pour cela que le danger soit partout, dissimulé, pervers, et il faut enfin que celui-ci soit rare, pour que notre imagination ait le temps de nous torturer entre deux malencontreuses rencontres.
De quel meilleur décor pourrait-on alors rêver que la montagne ? La blanche montagne, majestueuse, apaisante et...cruelle ?
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