Loved

Loved (Browser)

Alexander Ocias


On connait l’impact terrible des jeux vidéos sur la psychologie de l’enfant humain, comme le souligne si bien le docteur Dr N’GHIEM sur Salve Regina (Con de document qu’on peut pas linker: Famille/Education des enfants/La télévision, les jeux vidéos et la santé mentale des enfants), les jeux vidéos sont capables de « créer le phénomène de l’addiction, c’est-à-dire de dépendance comme chez le drogué : l’enfant ne peut plus se passer de jouer au jeu vidéo, vole au besoin pour se procurer de l’argent. ». C’est indéniable, nous nous sommes tous retrouvé enfant dans pareille situation, à braquer les petites vieilles à la sortie de l’eglise pour s’acheter la nouvelle cartouche pokémon, aujourd’hui reconnus comme d’inspiration satanique (Famille/Education/Halloween et Pokemon).


Mais on méprise bien souvent l’effet que peuvent avoir les joueurs sur le sujet jeu vidéo. Il n’est pas rare en effet de voir ce média jeune, instable, en proie à de graves troubles psychologiques dus à l’abus de joueurs.


Les premiers signes de ces troubles sont

-Instinct de contradiction

-Cynisme déplacé

-Complexe de supériorité

-Possessivité maladive


Si votre jeu vidéo présente un ou plusieurs de ces symptomes, c’est qu’il est temps de le faire consulter. Sans quoi, la pathologie pourrait sévèrement dégénérer.


Oui car si le joueurs ne répond pas à ces attentes, la colère et la déception de votre jeu pourrait se manifester pas une pixelisation suraigüe, menant à une saturation de l’écran de jeu et donc à l’abandon du joueur, soit le pire qu’il puisse arriver à votre jeu.


Le joueur, parlons-en, tout est finalement de sa faute : s’il se bornait à suivre les règles, appliquer à la lettres les consignes du jeu vidéo, les troubles de ce dernier finiraient peut-être par s’aggraver, mais il faut toujours que le joueur désobéisse, enfonçant plus profondément le jeu qui lui voue un amour maladif dans sa pathologie.


De maître, le jeu vidéo devient l’esclave du joueur, et on a déjà pu observer des phénomènes comparables au syndrome de Stockholm : Le jeu s’accroche à son tyran, et finit par lui implorer de rester, de jouer encore avec lui, comme avec une marionnette.


Le cas le plus frappant est celui de Loved, un jeu d’Alexander Ocias qui sombra totalement dans la folie. Je vous laisse juger par vous même.

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3 Comments

  1. Terrible !
    Suivre le jeu à la lettre donne tout de même une fin plus troublante que faire ce que bon nous semble.

  2. eh bien Pnume, tu es en train de te faire tout l’Oujevipo en une journée! Pense à te ménager!

  3. Pas de soucis, j’me rends surtout compte que nombre de jeux auxquels j’ai joué par le passé (et encore aujurd’hui) se retrouvent ici, du coup ça n’incite pas trop à arrêter :p

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