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Where I Go At Night (Browser)
Pat Kemp
- Where I Go At Night est un jeu multijoueur....Non : Where I Go At Nidght est un jeu à personnalités multiples....Non et non : Where I Go At Night est un jeu multijoueur et à personnalités multiples.
- Attends attends : Un dédoublement de la personnalité impliquant plusieurs personnes ? Comment c'est possible ?
- Simplement en faisant incarner à chaque joueur une facette d'une seule et même personne. Ça se complique quand ce dédoublement de la personnalité n'est plus seulement psychologique, mais aussi physiologique. Je suis sûr que tu vois de quoi je veux parler...
- De loup garou ?
- Ouais.
- Bon là Pierrec, il va falloir que tu m'explique, parce que je ne suis pas sûr d'avoir bien tout saisi.
- Bien sûr Pierrec, on a qu'à se lancer une petite partie, je suis sûr que tu va comprendre.
Text-based Multiplayer Shooter (Browser)
Eigen Lenk
En plus d'être une source intarissable de sourires en coin, le webcomic XKCD est décidément une grande source d'inspiration pour les développeurs. Après Press and Move, voilà donc le très sommairement nommé Text-based Multiplayer Shooter issu de ce simple petit crobard (qui n'en est même pas un en fait).
Comme son nom l'indique si bien, Text-based Multiplayer Shooter est ce à quoi aurait ressemblé le FPS s'il était né sur PDP-10. Tout se joue via des lignes de commandes.
Login (username) (password) pour se connecter
join roomX pour rejoindre une salle
Go north, turn west, etc pour se déplacer.
Look pour avoir une idée de ce qui se passe devant nous.
Et Fire pour tirer.
Ceux qui auraient du mal à se repérer dans ce monde en une seule dimension (celle de votre imagination), seront également bien heureux de découvrir la commande Map, permettant d'afficher temporairement une petite carte en ASCII.
Sweet_Noname (Browser)
Instant Noodles
Un adage de développeur indépendant dit que le premier jeu vidéo est toujours un échec. C'est en partie vrai : l'ambition dépassant bien souvent les moyens et connaissances techniques.
Cependant, je suis aussi persuadé qu'un premier jeu vidéo (tout comme un premier album musical, un premier roman, un premier film...) s'avère toujours d'un grand intérêt, car on peut y déceler les envies d'un nouvel auteur, et il n'est pas rare pour le coup que cette première œuvre apporte un vent de fraîcheur sur la production existante.
Sweet_Noname valide ces deux affirmations. Il est le fruit d'une équipe de cinq personne qui jamais n'avait créé le moindre jeu vidéo auparavant. D'après eux, il s'agit d'un projet d'auto-formation : faire un jeu vidéo pour apprendre à faire des jeux vidéo. Après tout, n'est-ce pas le meilleur des moyens ? Cette démarche me rappelle personnellement Lapinot et les carottes de Patagonie, premier ouvrage du Lewis Trondehim, BD de 500 pages qui n'avait d'autre but que de lui apprendre à dessiner. Ce Trondheim a fini grand prix du festival d’Angoulême...comme quoi !
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